Publié le 27 Avril 2011
Un tour en librairie et voilà ma PAL qui s'allonge... heureusement que ce sont les vacances ! Voici mon premier achat : le dernier ouvrage du sociologue Jean-Claude Kauffmann.
La quatrième de couverture :
Il est beau, irrésistible, simple ou sophistiqué. Qu'il agace ou rassure, il ne nous quitte pas d'une semelle. Le voilà, le plus fidèle partenaire des femmes : le sac ! On y met tout et n'importe quoi, le futile comme l'essentiel. Hélas, parfois, on a beau fouiller, impossible de remettre la main sur les clés ou le téléphone que l'on avait pourtant bien rangés ! A leur place, c'est u mot oublié, un souvenirs chargé d'émotion qui refit surface. Loin d'être un objet ordinaire ou un simple accessoire de mode, le sac est un univers sacré aux lois mystérieuses.
Véritable reflet de soi, le sac est un petit monde d'amour qui recèle des trésors insoupçonnés, témoignant de nos angoisses et de nos désirs. Les histoires qu'il abrite, tantôt légères, tantôt douloureuses, sont autant de pépitées qui dévoilent des secrets injustement négligés.
Les sacs parlent, à nous de savoir les écouter.
Mon avis :
Un sac, un simple accessoire de mode ? Pas du tout ! Mais qu'est-ce qu'on y trouve donc ? Pourquoi autant de choses ? Doit-il être petit ou un grand ? Porté à la main, à l'épaule, en bandoulière ? Sacs addict ou tout pour le seul et l'unique ? Les sacs des filles livrent ici un peu de leurs mystères et les choses s'éclaircissent au fil des pages : on découvre que le sac est synonyme d'intimité et un objet par lequel on se fabrique son identité de femme. Une vraie petite maison à transporter pour se sécuriser ! Le sociologue fait ici parler le dérisoire et le futile pour nous amener à comprendre un monde de souvenirs, de passions et de tendresse.
Une lecture de vacances qui est tombée à pic, moi qui recherche désespérement mon prochain sac à main dans les boutiques ! ^^ Je me suis régulièrement reconnue dans ce livre et ai passé un très bon moment !
Kaufmann, Jean-Claude.
Le sac : un petit monde d'amour
Ed. JC Lattès
2011/251 p.