Publié le 31 Janvier 2014

Un nouveau mois de janvier (avec une journée de travail empêchée pour cause de problème de voiture) :

 

Les séances d'IRD des 6e,

La correction des premières évaluations,

L'accueil d'une des classes de 3e participant au Prix Chronos (1h),

L'accueil d'une classe de 6e (1h) avec leur professeur de français pour la confection d'une fausse "une" de journal sur l'une des Métamorphoses d'Ovide,

L'accueil de deux groupes (niveau faible et bon) de deux classes différentes de 5e dans le cadre du cours de français pour de la lecture à voix haute au CDI (2 x 1h),

​La correction des ébauches de questionnaires pour le défi lecture des 5e et l'accueil des classes (2 x 1h),

Les séances de Club SF,

L'accueil en tant que tutrice d'une élève de 3e du collège n'ayant pas trouvé de stage d'observation (obligatoire... ce qui explique que le principal me l'ait refilée au dernier moment pour deux jours),

Une réunion plénière (de 17h15 à 19h),

Une demi-journée de portes ouvertes du collège,

Une réunion avec un représentant et une commande d'environ 200 euros,

L'inscription à la Semaine de la presse,

De la gestion et de la planification (comprenez beaucoup de mails !) pour les semaines à venir...

 

Rédigé par Nota Bene

Publié dans #Je prof-doc

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Publié le 30 Janvier 2014

Discussion de deux loustics entre les étagères du CDI :

 

Loustic n°1, d'un air goguenard : "Wouah regarde ! J'crois bien qu'j'ai trouvé le plus vieux livre du CDI !"

Loustic n°2 : "Oh les Gremlins ! C'est un film ça j'crois ! Faut regarder la date..."

Loustic n°1 : "1994 ! Olala, c'est genre aussi vieux que la Seconde Guerre mondiale !"

Intervention de Madame la prof-doc : "Ben dis donc y'en a qu'on besoin de réviser leur cours d'histoire ! Je veux bien croire qu'il y a des vieux livres au CDI m'enfin pas à ce point là quand même... !"

 

Publié le 30 Janvier 2014

Séance de recherche au CDI dans le cadre du cours de français d'une classe de 6e. Une des informations à rechercher est l'origine latine ou grecque du nom du dieu ou de la déesse d'une des Métamorphoses d'Ovide dont chaque binôme d'élèves à la charge.

 

Madame Prof-doc : "Tiens, ce dictionnaire des prénoms va pouvoir t'aider à trouver l'origine de ton prénom."

*Quelques secondes plus tard*

L'élève : "Madame, c'est l'origine de mon prénom qu'il faut que je cherche ou celle du nom du dieu ?"

Madame Prof-doc : "Ben à ton avis !!!"

 

Publié le 29 Janvier 2014

Oyez, oyez, chers collègues et internautes de passage ! Nous réfléchissons déjà une collègue de français et moi à un projet qui serait mené avec une ou deux classes de 6e l'année prochaine. Celui-ci s'orienterait vers les contes (les contes et récits merveilleux étant au programme de 6e) et plus particulièrement les multiples lectures possibles autour du Petit Chaperon rougeAuriez-vous d'ores et déjà des idées de titres (sous forme de nouvelles, BD, albums ou autres...) à me proposer ? Merci d'avance ! De mon côté, j'ai déjà quelques pistes grâce notamment à l'exposition virtuelle de la BnF sur les contes de fées.

 

 

Le Petit Chaperon rouge découvre sa grand-mère

Illustration d'Arthur Rackham

 

Publié le 29 Janvier 2014

Une fin de cours presque comme les autres :

 

Madame Prof-doc : "Rappelez-vous, évaluation la semaine prochaine ! Allez, à mardi !"

Un élève : "Au revoir madame !"

Madame Prof-doc : "Au revoir, à mardi ! "

Les élèves : "Oui, à mardi madame !" ; "Au revoir madame !" ; "Au revoir madame !"...

Madame Prof-doc : "Au revoir, bonnes révisions !"

Une élève *qui ne sait plus où se mettre* : "Bonnes révisions ! Heu... enfin... heu..."

 

 

Publié le 28 Janvier 2014

"Les livres n’étaient point des objets. Ils avaient une âme ! Ils avaient l’odeur des livres. Je humais, je respirais à pleins poumons, je m’enivrais. Les livres avaient la sorcellerie des mots. Je m’extasiais, je jonglais, je copiais, j’apprenais, je me délectais. Les livres avaient une épaisseur et lorsque l’histoire me paraissait trop belle et qu’il ne restait que peu de pages à lire, je ralentissais, je freinais, je prenais le temps d’épuiser l’épaisseur. […]

Certains livres devaient se manier comme des grenades explosives, d’autres comme des bouquets de fleurs, d’autres encore vous enveloppaient voluptueusement comme des couvertures un jour de pluie. Il y avait des livres pour pleurer, des livres pour rire, des livres pour faire peur, des livres pour vivre trop fort, trop vite, trop bien."

 

Ernest Pépin

Coulée d'or