Comme chiens et chats : histoires de frères et soeurs

Publié le 30 Janvier 2015

Recueil de nouvelles :

 

Comme chiens et chats

 

 

La quatrième de couverture :

 

Neuf nouvelles sur le thème des relations fraternelles, avec des sensibilités, des registres différents, des histoires qui puisent souvent dans la biographie revisitée des auteurs. Amour, haine, quels que soient les sentiments qui nous lient à nos frères et soeurs, c'est pour la vie. Famille recomposée, explosée, différence d'âge entre enfants, soeurs choisies, destins différents... chacun a une vision partiale du lien qui unit frères et soeurs, de la famille en somme.

 

 

Mon avis :

 

Que l'on soit petit ou grand, le cocon familial est à la fois source de frustrations et de bonheurs. C'est ce que chacun des auteurs des nouvelles de ce recueil font affleurer, avec leur sensibilité propre. Des textes légers comme Zone de transit de Charlotte Moundlic (une jeune adolescente tient un sitting au beau milieu du couloir pour réclamer le droit à une chambre individuelle qu'elle ne partagerait plus avec sa petite soeur) à ceux plus torturés comme Les doigts endormis de Mathis (où l'enterrement du père rassemble une fratrie dans laquelle la communication est difficile), on aborde avec pudeur le thème des relations entre frères et soeurs. La nouvelle de Florence Thinard clôture en beauté mais de façon quelque peu décentrée le recueil en ouvrant sur l'universelle condition des femmes.

 

 

Sommaire :

 

  1. Ma pink Cadillac de Shaïne Cassim
  2. Ma soeur Anne de Jérôme Lambert
  3. La randonnée du 15 août de Véronique M. Le Normand ♥♥
  4. Le fils unique de Pascal Maret 
  5. A tes souhaits ! de Frédérique Martin 
  6. Les doigts endormis de Mathis 
  7. Zone de transit de Charlotte Moundlic ♥♥
  8. Le compte à rebours de Mikaël Ollivier 
  9. La gloire de mes soeurs de Florence Thinard ♥♥

vide = peu appréciée

 = appréciée

♥♥ = préférée

♥♥♥ = coup de coeur

 

 

Collectif.

Comme chiens et chats : histoires de frères et soeurs

Ed. Thierry Magnier

2011/158 p.

 

Rédigé par Nota Bene

Publié dans #Je lis

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