La faute aux chinois

Publié le 1 Juin 2017

 

 

La quatrième de couverture :

 

"La classe ouvrière est morte, c'est moi qui l'ai tuée."

 

 

Mon avis :

 

Louis Meunier est ouvrier : il est chargé d'égorger des poulets dans une usine. Son beau-frère lui propose un jour de diversifier ses activités, quitte à ne plus être dans la légalité...

Avis partagé sur cette BD. Je m'attendais - comme le titre le laisse penser - à une chronique sociale. En réalité, le propos socio-économique n'est qu'en arrière-plan du scénario et c'est plutôt un polar noir et glauque qu'on nous donne à lire. C'est captivant mais un peu brouillon parfois : on se demande où le scénariste veut en venir. Par contre, le dessin colle plutôt bien à l'atmosphère embourbée dégagée par les personnages. Bref, à lire pour se faire une idée par soi-même.

 

 

Ravard, François

Ducoudray Aurélien

La faute aux chinois

Ed. Futuropolis

2011 / 148 p.

 

Rédigé par Nota Bene

Publié dans #Je lis aussi des BD

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