Celles dont je n’ai pas parlé

Publié le 24 Juillet 2020

Celles dont je n’ai pas parlé
Celles dont je n’ai pas parlé Celles dont je n’ai pas parlé

Voici des bouquins partiellement lus, seulement feuilletés voire abandonnés dont je ne vous parle que brièvement afin d'en garder tout de même une trace.

  

Autobiographie d'une licorne de Maïté Bernard

 

♥ ÇA RACONTE QUOI ? L'histoire d'une adolescente à un moment charnière de sa vie et ce à double titre : le décès de son grand-père révèle un lourd secret de famille et elle pousse pour la première fois de sa vie la porte d'un local LGBT+.

 

♥ POURQUOI NE L'AVOIR LU QUE PARTIELLEMENT ? Parce que l'écriture packagée "young adult" ne m'a pas séduite : mimer le parlé adolescent en interpellant le lecteur n'est pas le meilleur des choix en général. Ce roman n'y fait pas exception. J'ai eu du mal à me sentir bien avec la narratrice, Carmen, si loin de mes préoccupations. J'ai ressenti un manque général de crédibilité. Si une certaine originalité de fond et de forme est présente, elle n'a pas suffit à me faire poursuivre ma lecture. Je remercie cependant les éditions Syros pour ce partage.

 

 

Algues vertes d'Inès Léraud et Pierre Van Hove

 

♥ ÇA RACONTE QUOI ? Une enquête sur la dangerosité des algues vertes présentes sur le littoral breton depuis des dizaines d'années. Lanceurs d'alertes, scientifiques, agriculteurs, politiques sont au cœur de jeux d'influence destinés à garder - ou non - le silence.

 

♥ POURQUOI NE L'AVOIR LU QUE PARTIELLEMENT ? Parce qu'après un début tout à fait intéressant, le dernier tiers de la bande dessinée est moins digeste : riches d'informations, avec des longueurs sans doute inhérentes à l'enquête, qui rendent la lecture moins fluide pour quelqu'un qui ne souhaite pas forcément entrer à ce point dans les détails de l'analyse.

 

 

L'écume des jours de Paul et Gaëtan Brizzi d'après Boris Vian

 

♥ ÇA RACONTE QUOI ? L'album n'est pas une bande dessinée comme je l'avais cru mais une version grand format et illustrée du roman de Boris Vian. Ma critique du roman est à (re)découvrir par ici.

 

♥ POURQUOI NE L'AVOIR LU QUE PARTIELLEMENT ? Parce que je n'ai pas relu le texte (déjà connu) mais pris le temps de feuilleter l'album à l'occasion du centenaire de Boris Vian pour en découvrir le travail d'illustration : assez grandiose ! Un bémol cependant : le choix opéré de ne pas le coloriser. 

 

Rédigé par Nota Bene

Publié dans #Je lis, #Je lis aussi des BD

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